De l'effet sédatif des montagnes (on peut rêver, non?)

bon alors ça c'est du rapide, je demande et hop tu reviens ! ho!

cyclo-chtimie?

l'art d'emporter le lecteur...merci...

...pourtant ce n'est rien que mon insignifiante vie, sans gloire et sans pudeur

trois bises au faux tzigane!

je suis entrain de me demander: suis-je ou non allée à Zermatt? 1981, c'est très loin pour quelqu'un comme moi qui a laissé ses souvenirs à la consigne puis perdu la clé! et l'adresse de la consigne aussi

à y bien réfléchir, je ne pense pas, ou ne me souviens pas, davantage du côté de Gstaad
et pourtabntr le Mont Rose ça me dit quelque chose, en fait je devrais demander à ma banque de donnée principale, la personne qui a fait tous ces voyages avec moi, pour me montrer sa Suisse à lui!

c'est vrai que partager des découvertes avec autrui! mais tu vois ça n'a pas suffit pour moi, j'ai oublié les lieux, mais peut-être pas les impressions vécues, ce qui a réellement été partagé au-delà de la beauté des paysages et des configurations géographiques et physiques.

Je n'ai pas vu le Matterhorn, je ne pense pas
toi tu n'es pas si loin, tu pourras revenir, en belle saison, si tu n'as pas trop de dettes entre temps!
et puis le petit train à crémaillère ne doit pas être mal non plus

Djam qui est de passage derrière l'ordi me précise qu'on devait bien aller à Zerùmatt, mais qu'on ne l'a pas fait, qu'on est allé à Mürren en face de la Jungfrau
alors voilà, comme ça je ne me pose plus de question. Pour nous à présent c'est trop loin, je ne sais si nous pourrons un jour!

j'suis pas chtimie!
si y a bien queuque chose que chuis pas c'est chtimie!

chaque vie a un sens, celui qu'on lui donne et vous livrez la votre en toute sincérité...et cela ne fera jamais défaut...

Fleur, si j'y suis encore : ma maison sera alors la tienne et celle de Djam...mais je prévois que mes infirmités s'accentuant ne m'imposent bientôt Paris pour être plus proche de ma famille et de commodités diverses
spirAl, je revendique parfois certaines tranparences qui prennent allures de sincérté. Toutefois en l'occurence je crains de m'être seulement mis à brailler comme un sale gosse turbulent qui se serait fait mal en tombant (en réalité l'origine du mal est moins fortuite). Je m'étonne de la patience que certaines et certains démontrent vis-à-vis de mes pleurnicheries. Mais que l'on m'excuse d'avoir rejeté ce venin, c'était indispensable et ça le restera.

quelque soit la nature des mots, le plus difficile est de faire partager l'émotion et je l'ai ressentie en vous lisant, c'est tout ce qui compte...il n'y a pas lieu qu'on vous excuse...continuez...tant que cela pourra vous aider à retrouver une forme de paix...
douce nuit à vous...

Je ne vois pas de pleurnicheries.
Un blog est souvent un journal "extime". J'ai beaucoup donné dans ce style autrefois et d'une certaine façon (moins évidente mais toute aussi vraie), je continue.
Alors, j'aime vos mots, votre sincérité à fleur de peau...
J'espère vous lire encore longtemps.

merci mon cher ami, ta générosité t'honore
moi je prends plaisir à savoir que nous sommes des vivants avec nos histoires persos, nos sentiments à fleur-de-peau ou dans l'arrière-cour
j'aime correspondre par blogs interposés avec des vivants