je rebondis sur le BLA BLA BLA et j'en rajoute une couche
troll | 2
| 7/3/2009
voir mes posts 75 et 76. ;-)
Jadhère inconditionnellement à lidée que toutes langues, parler, patois , jargon constituent autant déléments patrimoniaux. méritant protection.
Quant à la défense du plurilinguisme, je ne suis pas prêt de baisser ma garde pour le soutenir. Je suis également convaincu des mérites de la diversité.
Cependant, force est de reconnaître à peu dentre nous la capacité de maîtriser de manière égales et à un degré satisfaisant plusieurs langues. Ceci explique en partie lémergence des langues vernaculaires (lingua franca, pidgin, porteno) puis des jargons spécifiques et notamment technologiques, si souvent exaspérants.
Que langlais tende à prendre toute la place dans le lit, ne me fait pas de problème à condition que chacun lise Farenheit 491 et rectifie la barre en conséquence (quelques coups de pieds bien vachards au fonds du lit devraient suffire à rendre sa place à chacun).
Quant à lusage de langlais chez B&O, il illustre la situation paradoxale où nous mous trouvons : à lorigine cette boite danoise, de conception et de fabrication de matos hi fi , implantée et demeurée au Danemark, est entrée il y a deux décennies dans le giron de la multinationale néerlandaise Philips. Une idée de géni y surgit à peu prés tous les dix ans. Devancé ou faisant jeu égal avec ses concurrents (japonais notamment) dans le domaine strictement technologique, B&O après avoir opté pour la technologie Philips, sest recentré et repositionné dans lesthétisme industriel, compétence reconnue aux pays nordiques (voir IKEA, Volvo ) qui au même titre quune langue quelconque, est bien lexpression dune culture ! Par surcroît le langage de lesthétisme ne peut il pas prétendre à être la base dun langage universellement intelligible?
Alors ? Quelle bannière brandir plutôt quune autre?
En attendant une réponse, la sauvegarde de lexistant me semble essentielle, mais laccès , je le redoute, nen sera pratiquement réservé quà un nombre de plus en plus limité de personnes.
Quels jardins MONSANTO nous laissera cultiver?
Quant à la défense du plurilinguisme, je ne suis pas prêt de baisser ma garde pour le soutenir. Je suis également convaincu des mérites de la diversité.
Cependant, force est de reconnaître à peu dentre nous la capacité de maîtriser de manière égales et à un degré satisfaisant plusieurs langues. Ceci explique en partie lémergence des langues vernaculaires (lingua franca, pidgin, porteno) puis des jargons spécifiques et notamment technologiques, si souvent exaspérants.
Que langlais tende à prendre toute la place dans le lit, ne me fait pas de problème à condition que chacun lise Farenheit 491 et rectifie la barre en conséquence (quelques coups de pieds bien vachards au fonds du lit devraient suffire à rendre sa place à chacun).
Quant à lusage de langlais chez B&O, il illustre la situation paradoxale où nous mous trouvons : à lorigine cette boite danoise, de conception et de fabrication de matos hi fi , implantée et demeurée au Danemark, est entrée il y a deux décennies dans le giron de la multinationale néerlandaise Philips. Une idée de géni y surgit à peu prés tous les dix ans. Devancé ou faisant jeu égal avec ses concurrents (japonais notamment) dans le domaine strictement technologique, B&O après avoir opté pour la technologie Philips, sest recentré et repositionné dans lesthétisme industriel, compétence reconnue aux pays nordiques (voir IKEA, Volvo ) qui au même titre quune langue quelconque, est bien lexpression dune culture ! Par surcroît le langage de lesthétisme ne peut il pas prétendre à être la base dun langage universellement intelligible?
Alors ? Quelle bannière brandir plutôt quune autre?
En attendant une réponse, la sauvegarde de lexistant me semble essentielle, mais laccès , je le redoute, nen sera pratiquement réservé quà un nombre de plus en plus limité de personnes.
Quels jardins MONSANTO nous laissera cultiver?
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